1.7 mégaoctets de données a été créé chaque seconde par chaque personne au cours de l’année 2020 (selon the Whaller). Dans notre environnement de plus en plus numérique, et de plus en plus influencé par la donnée, il convient de s’interroger sur son utilisation et de la mobiliser à notre tour, de la même manière que nos propres données sont constamment utilisées. En effet, sur les réseaux sociaux ou tout simplement sur Internet, nos données permettent aux grandes plateformes de mieux nous connaitre et de mobiliser ces données pour leur bénéfice. A notre tour, d’utiliser les données à notre avantage. Pour ce faire, notre groupe composé de sept étudiants s’est retrouvé le 4 décembre 2023 en D26 pour travailler, penser, parler “data” lors du challenge data.
Notre équipe est composée de:
Forts de notre hétérogénéité, l’équipe a dans un premier temps fait connaissance et rassemblé ses bases en “datajournalisme”. Dans un premier temps, ce terme nous a paru flou et lointain, en effet, la majorité de nos cours n’abordent que très peu ce genre de sujet.
Nous avons tous les sept suivi le cours “culture générale de la donnée” en 1ère année et la journée “data et territoires” en 2ème année, il convient à présent de se remémorer nos souvenirs. Nous gardons un souvenir agréable de la journée “data et territoires”, nous arrivons même à nous souvenir des jeux de mots trouvés pour le nom de notre groupe.
Nous nous sommes mis d’accord sur notre définition du mot “datajournalisme”, telle que l’utilisation de données afin d’apporter des connaissances sur un phénomène, c’est une forme de vulgarisation des données qui permet de mieux comprendre un événement. A la fin de la semaine, cette définition allait se préciser et fortement évoluer de par l’expérience riche acquise. Nous espérons que l’écriture d’un article de “datajournalisme” allait nous permettre de mieux comprendre et de rendre concret ce terme.
<aside> 📌 Le challenge data c’est quoi ? Une semaine intense organisée par Sciences Po Saint-Germain-en-Laye et Datactivist, supportée par la Banque des territoires et l’Agence nationale de la cohésion des territoires, durant laquelle notre mission sera de mobiliser des “open data”, d’analyser et de les mettre à disposition des collectivités afin qu’elles adaptent et comprennent des phénomènes liés à leurs politiques territoriales en ce sens.
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